Pour qu’un storytelling soit efficace, il faut avant tout en connaitre la chute. Votre fin délivre un grand message, une promesse de quelque chose de mieux. Sachant que tout ce que vous dites, de la 1ere phrase à la dernière phrase, conduit à un objectif unique et commun. Idéalement, elle confirme une vérité, approfondit notre compréhension sur ce que nous sommes en tant qu’êtres humains.
Pour qu’elle soit efficace, chaque histoire (réelle ou imaginaire) raconte une part de nous-même, donne du sens, nous connecte aux autres.
« Que voulez-vous, je ne m’intéresse pas aux idées, moi, je m’intéresse aux personnes ».Albert Camus
Intéressez-moi émotionnellement, intellectuellement, esthétiquement, je serais prêt à vous écouter, vous regarder. Cela me donnera surement envie de vous aider.
conseils sur l’art de raconter des histoires
La fin, c’est la promesse que l’histoire vaut la peine d’être écoutée, d’y consacrer du temps. C’est comme un grand puzzle dans lequel chaque pièce a son importance. Il ne s’agit pas d’une grande image mais de multiples petits morceaux qui s’emboitent parfaitement pour dévoiler un tableau complet.
Plus le storytelling est authentique, plus il a de chance de toucher sa cible. Par exemple, si vous êtes devant un public et que vous deviez répondre à la question suivante : Pourquoi est-il nécessaire de donner une 2ème chance dans la vie ? Votre vécu, vos failles seront autant d’atouts pour sensibiliser votre auditoire.
« Il n’y jamais plus fort qu’une personne qui décide par elle-même »
Convaincre ce n’est donc pas avoir raison, ce n’est pas forcer, ni manipuler l’autre à épouser vos idées. Convaincre, c’est donner des informations utiles au public pour qu’il puisse, en autonomie, en faire sa vérité.
Dites-leur ce que vous ressentez, partagez vos valeurs, soyez décomplexé…
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