il faut définir vos objectifs de façon précise : par exemple vous pouvez vous servir des différentes typologies de vos clients : les cadres, les familles, les célibataires, les écolos, un public uniquement féminin. Comprendre leurs attentes c’est parler pour eux !
Cela permet de s’identifier. Il doit posséder des qualités / caractéristiques. Pour que ça parle à votre auditoire, il faut qu’il se sente proche du sujet : le héros a une quête à mener, il doit résoudre une problématique, trouver une solution.
Attention : ne pas oublier que le client/collaborateur doit pouvoir s’identifier à votre histoire : le héros doit gagner en compétence, être plus fort, intelligent. Il est perfectible: superman n’est pas intéressant car il est trop parfait.
Un bon storytelling est constitué d’épreuves. Montrez comment le personnage évolue dans l’écho-système que vous évoquez. L’échec donne de la perspective à l’entreprise en montrant qu’il y a encore des marches de progrès à accomplir ensemble.
Il était une fois une jeune cadre manager…
Il progresse en aptitudes et humainement il se bonifie : Titanic avec Leonardo Dicaprio ne pensait pas mourir mais il parait encore meilleur en se sacrifiant à la fin de l’histoire. Pour s’identifier à lui, le héros ne doit pas être parfait. La progression spirituelle du héros : faire un point d’étapes en fonction des objectifs et faire un point sur le chemin qui reste à parcourir. On aime avoir un héros qui a des failles.
Se mettre à la place du client/collaborateur permet de se différencier, de se poser les bonnes questions. Et si c’était moi comment j’aurais réagit dans cette situation…
Client/collaborateur : quelle est la problématique ? Quels sont les points à résoudre ? Quelles sont ses difficultés ? (je n’achète un produit que s’il vient combler un besoin), Qu’est-ce que mon client attend ?, Comment mon produit va permettre à mon client de dépasser son besoin ? Comment mon produit va répondre à sa problématique ?
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